Notre Histoire Clandestine

Notre histoire clandestine

STUDIO  CLANDESTIN, plus qu’une marque de vêtements, est un concept innovant, intemporel, alliant le stylisme aux arts dans un esprit engagé et inventif, où se mêlent une transversalité des savoir faire artisanaux à la plasticité de l’art contemporain.


L’essence de STUDIO  CLANDESTIN est le projet de Jonathan Canuti, jeune créateur de Vallauris, qui grandit au milieu des serres abritant les plus belles fleurs de la région Azuréenne. Il est l’héritier des marchés de Provence et évolue dans les jambes des artisans de sa région. Céramistes de Vallauris, sculpteurs et peintres de Saint-Paul de Vence, souffleurs de verre de Biot et carnavaliers de Nice sont les héros d’enfance de Jonathan qui devient un amoureux du beau et du bien fait.


Lors de ses études en communication à la faculté de Nice Sophia Antipolis, il acquiert la culture de l’image en découvrant l’Histoire de l’art, la sémiologie et l’écriture de scénarii. Ces sciences de l’image lui donnent l’envie de se réinventer et de créer.


Jonathan aiguise son regard artistique en même temps que sa passion pour la mode. Elle devient pour lui le moyen d’expression le plus pertinent pour revendiquer sa vision du monde. Il fait de la Mode son art. Il l’utilise pour s’exprimer, revendiquer, détonner et s’affirmer. Il aura soif de tout connaître sur le sujet : les tissus, la couture, la couleur, les associations, les influences croisées des grands couturiers et devient rapidement très pointu. Parallèlement, son travail de responsable visuel et stratégies commerciales dans une grande enseigne de prêt-à-porter lui apprend les fondements de la « mode usine » qu’il va déconstruire.


C’est en 2017 que Jonathan Canuti s’émancipe en son nom en tant que designer et crée STUDIO  CLANDESTIN, qui, plus qu’une marque, est une identité, un concept mêlant les amours de sa vie dont la mise en valeur de l’artisanat, le mélange des matières nobles et industrielles, et la réinvention de pièces basiques à l’infini. À travers son travail de déconstruction, il utilise des pièces déjà créés par l’industrie pour en faire des pièces uniques, en y associant un savoir faire régional.


Jonathan Canuti embelli les pièces avec de la céramique empruntée aux ateliers de Laurène JEANNETTE à Vallauris. Toutes les pièces de sa collection sont assemblées dans la ville de Peymeinade, sous l’aiguille de Elise Pelaïa Botta couturière ayant fait ses armes chez Givenchy dans son atelier Clandestin. Il y a de l’artisanat dans le coup de fil et du soleil dans les patchworks.


Après Yves Klein, le concept de STUDIO  CLANDESTIN ira, dans les futures collections, mettre en valeurs d’autres artistes tel que Picasso, ainsi que des collaborations avec des artistes contemporains issus d’horizons variés.

 

Sa pratique de styliste s'opère dans l'analyse de la "mode usine", avec l'objectif d'y révéler les décalages esthétiques et les omissions dévoilées par le prêt-à-porter.


La volonté de Jonathan Canuti est de projeter le vêtement dans un contexte artistique, là où un espace est spécifiquement offert au sensible, afin de donner une dimension plastique aux pièces de sa collection. Par le moyen du défilé performé, le modèle donne vie aux créations textiles de Studio Clandestin, dont les architectures entrent en communication avec l’espace. Un moyen de valoriser un patrimoine artistique toujours vivant qui alimente quotidiennement nos réflexions parfois métaphysiques.


Dans une époque où la surconsommation fait figure de gourou, Jonathan et son STUDIO  CLANDESTIN cassent les codes et les détournent pour que chacun de ceux qui porteront Studio devienne Clandestin.